Oroox: Dans le cas des moteurs marins la température est plus basse que sur un terrestre, on est plus à 80°C. Le réseau sera assez volumineux je ne pense pas qu'on dépasse 70°C en pratique au pifomètre.
Intéressant le mitigeur que tu as envoyé, ça a l'air nickel! Hormis l'impossibilité de le visser en applique par contre mais on doit pouvoir bricoler.
Pour le matériau des conduites je sais pas encore, j'hésite à tout faire en 316L, mais malgré le côté indestructible c'est extrêmement chiant pour la maintenance les tubulures rigides... C'est pas ce qui manque la tubulure souple de qualité et avec des bons colliers c'est quand même fiable, ça pose aussi moins de problème de corrosion entre métaux différents. Un tuyau souple on peut vite le démonter, le bouger, le raccourcir... et ça transmet moins les vibrations.
Isolation armaflex effectivement en panneau, une première couche de 30mm calée entre les lisses et membrures et une deuxième de 10 ou 20 selon les endroits, croisée, pour supprimer les ponts thermiques.
La mousse PU projetées c'est le plus efficace sur un plan isolation, mais sur les bateaux acier un critère important est l'accessibilité partout, ce que n'offre pas la PU. Controle périodiques de l'éventuelle corrosion, réparations (j'ai en tête un grand navigateur qui s'était pris le bulbe d'un méthanier, le bordé enfoncé d'1m mais pas coulé, quelques mois de réparations et hop reparti).
La corrosion interne est assez inévitable, ça condense, ça s'accumule le long des lisses, et bim. Il est courant de dire qu'un bateau acier meurt de l'intérieur. TOUT doit être démontable pour accéder a la coque.
Beaucoup de chantiers en utilisent néanmoins par facilité et efficacité, mais c'est un parti pris... souder derrière après peut être bien compliqué. Même si je pense qu'une fois réglé on ne devrait plus y toucher ça serait pas mal qu'il soit sur le panneau de commande...
C'est nickel la gaine plate pour VMC, ça existe en version isolée?
Effectivement Bidu c'est une bonne remarque, surtout que c'est pas forcément plus cher, idem pour les tailles de raccord etc (je pense utiliser du 1/2" partout, ça me semble être un rapport prix/débit/encombrement assez réaliste par rapport au projet). Sur un bateau on comprend vite l'utilité d'avoir plein de pompes
Une bonne astuce souvent utilisée d'ailleurs est de prévoir une vanne 3 voies sur l'impeller du moteur de propulsion (pompe a aubes en néoprène), car très gros débit, au besoin ça fait une pompe de cale bien efficace, pratique aussi pour rincer l'échangeur moteur d'ailleurs.
Car oui en passant, le moteur de propulsion et le groupe electrogene sont de type à refroidissement indirect: de l'eau de mer passe dans un échangeur pour venir refroidir le liquide de refroidissement (circuit classique type auto, on remplace juste le radiateur par cet échangeur), et ensuite elle est mélangée aux gazs d'échappement pour les refroidir eux aussi.
Intéressant le mitigeur que tu as envoyé, ça a l'air nickel! Hormis l'impossibilité de le visser en applique par contre mais on doit pouvoir bricoler.
Pour le matériau des conduites je sais pas encore, j'hésite à tout faire en 316L, mais malgré le côté indestructible c'est extrêmement chiant pour la maintenance les tubulures rigides... C'est pas ce qui manque la tubulure souple de qualité et avec des bons colliers c'est quand même fiable, ça pose aussi moins de problème de corrosion entre métaux différents. Un tuyau souple on peut vite le démonter, le bouger, le raccourcir... et ça transmet moins les vibrations.
Isolation armaflex effectivement en panneau, une première couche de 30mm calée entre les lisses et membrures et une deuxième de 10 ou 20 selon les endroits, croisée, pour supprimer les ponts thermiques.
La mousse PU projetées c'est le plus efficace sur un plan isolation, mais sur les bateaux acier un critère important est l'accessibilité partout, ce que n'offre pas la PU. Controle périodiques de l'éventuelle corrosion, réparations (j'ai en tête un grand navigateur qui s'était pris le bulbe d'un méthanier, le bordé enfoncé d'1m mais pas coulé, quelques mois de réparations et hop reparti).
La corrosion interne est assez inévitable, ça condense, ça s'accumule le long des lisses, et bim. Il est courant de dire qu'un bateau acier meurt de l'intérieur. TOUT doit être démontable pour accéder a la coque.
Beaucoup de chantiers en utilisent néanmoins par facilité et efficacité, mais c'est un parti pris... souder derrière après peut être bien compliqué. Même si je pense qu'une fois réglé on ne devrait plus y toucher ça serait pas mal qu'il soit sur le panneau de commande...
C'est nickel la gaine plate pour VMC, ça existe en version isolée?
Effectivement Bidu c'est une bonne remarque, surtout que c'est pas forcément plus cher, idem pour les tailles de raccord etc (je pense utiliser du 1/2" partout, ça me semble être un rapport prix/débit/encombrement assez réaliste par rapport au projet). Sur un bateau on comprend vite l'utilité d'avoir plein de pompes
Une bonne astuce souvent utilisée d'ailleurs est de prévoir une vanne 3 voies sur l'impeller du moteur de propulsion (pompe a aubes en néoprène), car très gros débit, au besoin ça fait une pompe de cale bien efficace, pratique aussi pour rincer l'échangeur moteur d'ailleurs.
Car oui en passant, le moteur de propulsion et le groupe electrogene sont de type à refroidissement indirect: de l'eau de mer passe dans un échangeur pour venir refroidir le liquide de refroidissement (circuit classique type auto, on remplace juste le radiateur par cet échangeur), et ensuite elle est mélangée aux gazs d'échappement pour les refroidir eux aussi.